Le Ministre d’État, en charge de l’Enseignement Primaire Secondaire et Technique (EPST), Willy Bakonga, se dit choqué et révolte par le viol d’une élève finaliste du cycle secondaire lors de d’une attaque et dénonce ces crimes infâmes.
C’est dans un tweet que Willy Bakonga monte au créneau pour fustiger la Nouvelle attaque perpétrée dimanche dernier contre des finalistes dans la province du Haut-Uélé.
« Consterné, révolté et profondément choqué par le viol d’une élève finaliste à Isiro dans le Haut-Uélé, à l’aube des épreuves hors session de l’Exetat tout comme la barbarie commise sur des élèves à Masisi lors du TENAFEP. Nous dénonçons ces crimes infâmes. Justice pour eux » a déclaré le Ministre d’État, en de l’Enseignement Primaire Secondaire et Technique, Willy Bakonga.
Dans un communiqué officiel publié lundi dernier, le Gouvernement provincial du Haut-Uélé, par l’entremise de son Ministre en charge de l’éducation, a déploré la violence sexuelle perpétrée contre cette élève, par un inconnu, alors que cette dernière était dans un état d’inconscience.
En effet, Azaro Kaniki Françoise, Ministre provinciale de l’EPST, genre, Famille et Enfant qui a lu le communiqué devant la presse, a affirmé qu’il y avait un groupe d’élèves venus d’Erungu à 57 kilomètres de la ville d’Isiro.
Ces élèves ont pris un logement au centre diocésain charismatique, et ont été visités par des inconnus qui ont emporté plusieurs biens de valeurs dont des téléphones et de l’argent et l’un d’entre eux a violé une élève.
« Lors de cette intrusion, une élève a déclaré avoir été violée dans un état d’inconscience. Alerté par les organisations de la société civile spécialisées dans la lutte contre la violence sexuelle, le gouvernement provincial a instruit les services dont la police d’enfants et de lutte contre la violence sexuelle et la mairie d’Isiro, à s’occuper de la situation », a dit la Ministre provincial de l’EPST.
Jie K